Champagne et robes de soirée, musique et lumières féeriques… Les bals d’été à Oxford sont incontournables et la détective amatrice Gemma Rose compte bien en profiter pour se faire belle et prendre du bon temps. Mais lorsqu’un chef célèbre est assassiné avec son propre fouet, Gemma se retrouve plongée au cœur d’un nouveau mystère. Et les vieilles chouettes comptent bien l’aider à enquêter !

Lorsque Gemma Rose, propriétaire d’un salon de thé dans l’Oxfordshire, inscrit sa petite chatte tigrée, Muesli, à l’exposition féline de la fête du village, elle ne s’attend bien évidemment pas à assister à un meurtre.

Contrainte d’annuler ses vacances de rêve avec son petit ami, Gemma, l’enquêtrice amatrice, se retrouve à Vienne, avec sa chatte Muesli et les vieilles chouettes pour compagnie. Il ne leur faut pas longtemps pour tomber sur un meurtre en plein cœur de la capitale autrichienne. Confrontées à la mort suspecte d’un critique dans leur hôtel, les vieilles chouettes sont bien déterminées à trouver le tueur. Mais qui a fait le coup ? Est-ce la propriétaire rancunière de l’hôtel ?

Un coup de fil sinistre au milieu de la nuit plonge la propriétaire de salon de thé Gemma Rose au cœur d’un nouveau mystère. Cette fois, son ami Seth est considéré comme le principal suspect d’un crime ! Un meurtre macabre commis dans le cloître d’un ancien collège d’Oxford révèle des rivalités amères au sein de l’université, mais Gemma découvre des indices inattendus dans son petit village des Cotswolds. Pendant ce temps, sa vie amoureuse ne lui laisse pas de répit.

Gemma abandonne son emploi confortable pour rentrer à Oxford et réaliser son rêve : ouvrir un salon de thé traditionnel anglais. Pour ce faire, elle doit dépenser toutes ses économies, retourner vivre chez ses parents et supporter sa mère autoritaire qui joue les entremetteuses, mais elle en est persuadée : c’est pour la bonne cause. La preuve : ses affaires sont déjà en plein essor... jusqu’à ce qu’elle découvre un jour en ouvrant sa boutique qu’un touriste américain a été tué par l’un de ses