NOËL MORTEL: un meurtre au palace, une enquête cosy et humoristique (Les enquêtes de Pippa t. 3) (2023)

ALERTE Cosy crime ! Troisième aventure de notre enquêtrice de charme, Pippa, après "CASINO FATAL" et "MORPHINE SUSPECTE" !

C'est bientôt Noël, et Pippa devra encore passer les fêtes au travail, puisqu'elle est de garde. Pourtant, on dirait bien que cette année, le hasard fait joliment les choses en lui offrant un gros coup de pouce pour l'aider à décompresser et à profiter luxueusement de cette période si magique : une semaine dans un palace, luxe et détente assurés !
Mais les meurtriers font-ils une pause pour Noël ? Il semblerait que non.

EXTRAIT :
"Dans l’ascenseur, se trouvait un homme en costume gris et cravate motif père Noël, avenant, mais les traits extrêmement tirés, et l’air très préoccupé. Pippa reconnut le responsable de l’hôtel en personne, et après un rapide coup d’œil à son badge, eut confirmation que c’était bien lui : Monsieur Charles Denisson, directeur. Le regard de l’homme croisa celui de la jolie blonde, et il esquissa aussitôt un léger sourire.
— Mademoiselle Pippa ! Quel plaisir de vous revoir ! Je me souviens bien de vous, depuis cette malheureuse affaire du Casino. On ne peut pas vous oublier. Comment allez-vous ?
— B.. bien, je vous remercie. L’homme entraîna son interlocutrice à l’écart du passage, afin de pouvoir parler tranquillement sans être entendu des clients qui allaient et venaient autour d’eux.
— Je sais par votre ami lieutenant qu’il vous a mise au courant, et croyez-moi, je suis absolument navré que cela se produise à un moment pareil. Lorsqu’on m’a informé que vous étiez la gagnante de notre jeu, je me suis demandé si vous alliez venir, et vous voilà ! Je voulais vous féliciter personnellement.
— Merci.
— Etes-vous satisfaite de votre chambre ? J’ai demandé à ce que l’on vous attribue la « Maryline », c’est l’une de nos plus belles.
— Elle est absolument fabuleuse. Je vous remercie beaucoup.
— J’espère toutefois que vous pourrez continuer d’en profiter un peu. Je veux dire, autant que vous voudrez, mais avec ce qui s’est passé…"